Jacky Hamard
Biographie
Jacky Hamard est né à Château-Gontier (Mayenne) en 1957. Il a vécu à Fougères en Ille-et-Vilaine de l’école primaire à la terminale. En fac d’histoire à Rennes, il a consacré son mémoire de maîtrise au conflit de l’usine fougeraise de chaussures Réhault (1976-1980), puis son diplôme d’études approfondies (DEA) à l’abbé Bridel, prêtre démocrate à Fougères de 1909 à 1933, fondateur de nombreuses coopératives. Ces travaux universitaires sont à l’origine, dans les années 1980, des premiers reportages photographiques sur les usines de Fougères et sa région.
Parcours professionnel
Journaliste, spécialisé en économie et social, Jacky Hamard a effectué sa carrière professionnelle dans la presse quotidienne régionale, essentiellement au Télégramme (1987-2018) à Concarneau, Audierne et Quimper dans le Finistère.
Photographe Auteur depuis 2019.
Publications
« Fougères, vies ouvrières », édition La Sirène, 2018, 180 photographies en noir et blanc.
« Photographes de la côte d’Émeraude... et des régions voisines, 60 nuances de regards, tome 3, Editions Yellow Concept, 2021.
Site : www.jacky-hamard.fr
Instagram : jacky.hamard_2
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Napø
Après une carrière passée dans le dessin d'architecture, l'heure de la retraite ayant sonné pour moi, je me suis orienté vers la photographie, ceci à l’encontre des prévisions de mon entourage qui pensait que j’allais me consacrer à d’autres voies artistiques, i.e. la peinture… La photo est donc devenue ma nouvelle passion et ceci depuis 2014. Je pense que le fait d'avoir abandonné les crayons et les plumes de mon ancien métier dans les années 90 afin de passer au dessin numérique n'est pas étranger à cette nouvelle voie artistique…
Après quelques mois de cours de photographie à ingurgiter les rudiments de cet art nouveau pour moi, celui-ci est très rapidement devenue une passion malgré la complexité et l'évolution fulgurante du matériel numérique qui nécessite une adaptation constante… 😉
Pour ce qui est de mes thèmes de prédilection en photographie, je préfère être un « touche à tout » grâce à ma petite collection d'objectifs que je compare aux pinceaux d'un artiste, chacun ayant sa spécificité avec une large préférence pour les focales fixes, le tout dans un format compact 4/3.
La Bretagne est évidemment pour moi une source d'inspiration inépuisable et particulièrement la photo de rue car j'aime bien capter l'instant et l'insolite de façon opportuniste suivant l’humeur du moment. Pour assouvir mon imagination, j'ai un faible pour les effets graphiques parfois réalisés à la prise de vue ou en post-traitement en portant un soin tout particulier à la présentation.
Mes influences photographiques sont nombreuses et évolutives au gré de mes lectures (revues spécialisées), au gré des expositions et de mes rencontres.
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Gilles Boivin
En 1982, à l’âge de 23 ans, je décroche un emploi en Asie du Sud Est, lié à l’exploration pour le pétrole. Durant les 15 années suivantes ma profession me fera découvrir un grand nombre de pays, jusque dans leurs recoins les plus cachés. Déjà sensibilisé à l’image depuis le club photo du lycée à Quimper, j’ai profité de ces nombreux déplacements pour promener mon appareil photo à la rencontre de paysages et d’ambiances très variées. Le voyage est un fort stimulant pour tout photographe, en ce qu’il aiguise le regard, les sensations esthétiques, la curiosité de la rencontre avec des populations dont la curiosité est souvent réciproque, tout au moins hors des sentiers battus du tourisme de masse. Les images que je présente ici sont issues de négatifs sagement conservés dans une multitude de vieilles boîtes à chaussures. Le scanner m’en a fait découvrir ou redécouvrir un certain nombre. Les plus anciennes ont dépassé 40 ans, le monde a changé entretemps... ! 😉
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Régine M.
Je découvre la photographie à l'âge de 25 ans et, à cette époque là, mon sujet de prédilection devient la Nature. Alors que mes boîtiers argentiques deviennent inutilisables, j'arrête la photographie et m'oriente vers le fusain et le pastel…
C’est l’année dernière que j’ai commencé à apprendre à utiliser un boîtier numérique et depuis lors que je retrouve le plaisir de la photographie.
Si tous les sujets m'inspirent, je recherche particulièrement la quiétude, la poésie... Le flou me fascine 😉
Pour ce qui me concerne, la photographie est un voyage émotionnel ; toute la difficulté étant de retranscrire cette émotion…
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Fabrice Fernandes
Amateur passionné depuis plus de 20 ans, la photographie a toujours fait partie intégrante de mon quotidien. De la prise en main d'un argentique familial dès le plus jeune âge à l'acquisition de mon premier reflex numérique, la curiosité a rapidement laissé place à une passion dévorante. C'est ainsi que je me suis lancé dans cet art photographique en autodidacte (non, non, ce n'est pas un gros mot : demandez donc à Van Gogh ou Jimi Hendrix !). J'aime les images "fortes" en émotion ! Ma devise : "La lumière, l'instant, l'arrêt du temps."
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Dominique Fouchs
Je suis né en Lorraine, mes parents m’ont offert mon premier appareil photo, un polaroïd, à l’âge de 14 ans. C’est avec lui que j’ai découvert l’univers de la photographie, puis c’est avec un Kodak basique que j’ai développé mon goût pour la photo. Vers l’âge de 20 ans, j’ai investi dans un réflexe argentique avec lequel je m’exerce en réalisant des photos de famille et surtout des paysages.
En 1987, j’arrive en Bretagne suite à une mutation professionnelle. J’y découvre des paysages bien différents et je ne me lasse pas de photographier l’océan et tout ce qui gravite autour. Je délaisse alors mon appareil argentique pour acquérir un appareil réflexe numérique.
Arrivé en retraite, je m’inscris dans un club photo où nous pratiquons de nombreuses techniques différentes et j’y découvre par hasard le light painting. Ce procédé m’intrigue énormément, je fais alors de nombreuses recherches avant de faire les premiers essais dans mon jardin durant des semaines avant de me sentir prêt pour des shootings photos avec des mannequins.
J’adore le côté créatif et artistique du light painting. Au fil du temps, je me suis perfectionné et j’ai exploré d’autres sujets tels les champignons lumineux. Ces derniers permettent de créer des tableaux qui nous donnent l’occasion de rêver un peu.
Exposer mes clichés me permet de partager et de faire découvrir cet art avec d’autres personnes.
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